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Dans la sacristie, des vêtements
liturgiques somptueux côtoyaient les drapeaux de procession des
Enfants de Marie et de la ligue du Sacré-Coeur, en passant par
des photos d’époques où les visiteurs pouvaient reconnaître des
religieux et religieuses originaires de notre paroisse ainsi que
des amis d’enfance participant à des activités d’autrefois.
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On ne pouvait qu’admirer, en
particulier, cet ensemble richement brodé de fil d’or par les
religieuses, comprenant chasuble, dolomitiques, étole, manipule
et chape, tous vêtements d’une autre époque qui servaient lors
de célébrations solennelles. Également dignes de mention, ces
deux chasubles aux couleurs mariales utilisées avant 1970, lors
des fêtes de la Sainte Vierge.
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Les visiteurs pouvaient examiner à
volonté des ensembles de calices, patènes et ciboires dont un
calice de l’atelier d’orfèvrerie Favier Frères, de Lyon, France,
datant de 1850 à 1875. Il s’agit très probablement du calice
d’origine avec sa patène, ayant servi aux besoins du culte à
compter de la fondation de St-Édouard, en 1863. Ostensoirs,
encensoirs avec leurs navettes à encens, voiles de calice aux
différentes couleurs liturgiques, cingulons, pales, canons
d’autel, corporaux, chandeliers mortuaires au nombre de huit,
tous ces objets évoquent des cérémonies empreintes de ferveur
religieuse et de foi. Une pierre d’autel était aussi disponible
ainsi que des objets variés tels une barrette, une mallette du
prêtre pour le sacrement des malades, des livres, missels
romains, graduels, médailles et scapulaires, etc.
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On pouvait aussi voir de près le dais,
porté autrefois par quatre paroissiens lors de la procession de
la Fête-Dieu, dans les rues de St-Édouard. Le trajet
s’effectuait après la messe à partir de l’église jusqu’au
reposoir situé habituellement sur la galerie d’une maison
décorée pour la circonstance. Le prêtre, sous le dais, revêtu de
la chape en fil d’or marchait en tenant respectueusement le
Saint-Sacrement dans ses mains avec le voile huméral jusqu’au
reposoir où l’assistance se recueillait et priait un moment.
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Les visiteurs désireux d’approfondir
l’histoire de notre église pouvaient prendre la visite guidée
sous la direction de Patricia Lemay. La visite commençait à la
sacristie où les visiteurs étaient invités à admirer le beau
Christ en bois sculpté datant de 1885 et dont l’auteur demeure,
à ce jour, inconnu. On pouvait aussi y examiner les armoires en
bois massif de merisier avec la signification des inscriptions
sur les tiroirs des armoires.La visite guidée se poursuivait à
l’église où l’on pouvait en apprendre davantage sur la
construction de l’église actuelle et ses trésors. Les visiteurs
pouvaient se rendre jusqu’au jubé de l’orgue tout en haut et
admirer, chemin faisant, le chemin de croix, oeuvre du peintre
Luigi Morgari ainsi que les différentes sculptures ornant la
voûte de l’église avec leur signification.Cette exposition du
patrimoine religieux fut un franc succès avec 200-250 visiteurs
répartis sur les quatre jours de l’activité.
Compte-rendu préparé par
Gaëtan Soucy, de Saint-Édouard
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Ci-dessous, d’autres images de cette exposition
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